otre priorité, c’est que le groupe Barrière retrouve le chemin de la croissance, explique Alexandre Barrière. Depuis près de vingt ans, son chiffre d’affaires stagne.» Solidement installée depuis le début de l’été aux commandes du groupe familial d’hôtels et de casinos fondé par François André en 1912 et formidablement développé par son neveu Lucien Barrière, la quatrième génération n’a pas l’intention de faire de la figuration. Tout au long de la bataille qui les a opposés pendant deux ans à leur père Dominique Desseigne, veuf de Diane Barrière, la fille de Lucien, Alexandre et Joy s’étaient tenus éloignés de la presse.
Désormais seuls actionnaires et coprésidents du groupe Barrière, le frère et la sœur veulent prouver qu’ils ont pris la mesure de leurs nouvelles responsabilités. Et imposent un changement de style par rapport à leur père très «show off». Un père qui a dirigé le groupe pendant plus de vingt ans et qu’ils ne citeront jamais au cours de leur entretien avec Le Figaro. S’ils…
